Baptême de l’air en ULM Autogire

Une expérience unique à ne pas manquer !

Survolez le Nord Dordogne, le Sud Charente, l'Ouest Haute Vienne, le Périgord Vert

Secteur Bussière Badil, Piégut-Pluviers, Busserolles, Nontron, Varaignes, Montbron, La Rochefoucault, Cussac

Un autogire c'est quoi ?

Stabilité, Sécurité, Insensible aux vents

Histoire de l'autogire



L’autogire est appelé aussi autogyre, gyrocoptère, gyrocopter, autogyro voir gyroplane.

C’est un aéronef qui, s'il répond à des conditions de poids/puissance, fait partie des ULM (Ultra Léger Motorisé).

De par son classement en ULM, en plus du pilote, un seul passager est autorisé à bord, poids maximum de 100 kg.


L’autogire a été inventé par un espagnol, Mr Juan de la Cierva en 1923. Il a connu un essort important dans les années 1930, bien avant l’arrivée des hélicoptères.


Il ressemble à un petit hélicoptère car il est sustenté par la rotation d’un rotor principal. C’est une voilure tournante généralement équipée de 2 pales.

Contrairement aux avions, l’autogire ne décroche pas et il est impossible à mettre en vrille

Les caractéristiques de vol de l’autogire en font une des machines volantes les plus sûres jamais construites .

Ces ULM sont réputés très stables: de par leurs caractéristiques et leur domaine devol étendu,

Leur faculté de descente en auto-rotation leur confère un côté ludique, unique aux voilures tournantes.

L’effet centrifuge du rotor donne à l’autogire un comportement de vol très doux et stable, minimisant les effets des turbulences et du vent.

Il décolle sur 100 mètres (voir moins en fonction du vent), et se pose en moins de 50 mètres.

Il propose un large domaine de vol ainsi qu’une grande plage de vitesse : de quasi nulle jusqu’à 180km/h (voir plus selon les modèles).


L’autogire est un aéronef à voilure tournante “libre”, sustenté par un rotor et propulsé par une hélice.

Inventé en 1923 par l’espagnol Juan de La Cierva qui l’a nommé Autogiro, il est parfois appelé Gyrocoptère, par imitation de l’appellation anglaise. Le terme Gyro est également utilisé, surtout par les pilotes, pour désigner l’autogire. Longtemps délaissé au profit de l’hélicoptère, l’activité est depuis une dizaine d’années en plein essor en Europe, mais aussi en Afrique du Sud, en Australie et aux USA.

Les avantages de l‘autogire :

  1. •Faibles distances de décollage (300 ft) et d’atterrissage (0 à 30 ft)
  2. •Facilité de pilotage
  3. •Grande maniabilité et capacité de vol lent (25 kt)
  4. •Excellente stabilité de vol dans les conditions météo les plus rudes (vent, turbulences)
  5. •Décrochage inexistant
  6. •Limites structurales élevées (G positifs)
  7. •Coûts de fonctionnement (maintenance, consommation d’essence) réduits
  8. •Coût d’acquisition acceptable
  9. •Facilité de transport

Les autogires et les hélicoptères, bien que visuellement ressemblant, ont un fonctionnement très différent. L’autogire est un aéronef à voilure tournante libre: son rotor n’est pas alimenté par un moteur mais par le vent relatif généré par le déplacement de l’aéronef dans la masse d’air (Fig. 1).

Le seul mécanisme de transmission de puissance est le pré-lanceur. Ce système est juste destiné à la mise en rotation du rotor à un nombre moyen de tours afin de permettre le décollage. Il est ensuite désengagé et n’est plus utilisé pendant le vol.

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